Amilure à la sous-préfecture de Forcalquier
Mme la sous-préfète de Forcalquier a reçu le 19 mai quelques associations et collectifs, dont Amilure. Elle nous a exposé sa mission et nous lui avons fait part de nos préoccupations…
Les amis de la montagne de Lure
Mme la sous-préfète de Forcalquier a reçu le 19 mai quelques associations et collectifs, dont Amilure. Elle nous a exposé sa mission et nous lui avons fait part de nos préoccupations…
Le 20 mai, La Provence publie un article sur la centrale photovoltaïque de Peyrolles, faite de panneaux flottant sur une ancienne gravière inondée.
Nous avons répondu à la consultation du ministère de la transition écologique sur « les caractéristiques techniques des installations de production d’énergie photovoltaïque exemptées de prise en compte dans le calcul de la consommation d’espace naturels, agricoles et forestiers ».
C’est à nouveau la saison des adhésions à Amilure, l’association des « Amis de la Montagne de Lure ». Si vous êtes déjà adhérent, nous vous invitons à renouveler rapidement votre adhésion. Si vous ne l’êtes pas encore c’est le moment de nous rejoindre.
Une enquête publique est ouverte à Aubignosc en vue de l’implantation d’une centrale photovoltaïque. Nous en avons déjà parlé dans nos pages – et nous sommes contre. Lisez ici notre propre contribution à cette enquête.
QEnergy est venu présenter le 4 avril dernier ses projets photovoltaïques aux habitants de Banon – un flou pas si artistique.
Signez la pétition pour interrompre la prolifération de projets photovoltaïques et éoliens industriels en zone naturelle sur notre territoire, tant que la totalité des sites anthropisés n’aura pas été utilisée à cette fin.
Venez rencontrer l’opérateur derrière les projets photovoltaÏques malvenus de Banon, pour le mettre face à ses responsabilités.
Nous avons pris connaissance des intentions d’évolution du réseau électrique dans notre région pour intégrer le développement des centrales EnR, et nous avons fait part de nos critiques dans le cadre de la consultation en rapport. Nous publions ici notre contribution.
Le Ministère de la Transition écologique a ouvert une consultation sur le « Projet de décret relatif à la nomenclature de l’artificialisation des sols », dans le but avoué de rendre le foncier (et la mer) plus accessible aux projets industriels d’EnR. Nous publions ici la contribution d’Amilure à cette consultation.
Un projet de panneaux photovoltaïques est en cours d’élaboration au Revest-Saint-Martin. La MRAe a donné son avis, dont nous rendons compte.
Durant la journée bien organisée dans la forêt de Seygne, dimanche 20 février par LPO, les très nombreux visiteurs ont pu constater que l’entreprise responsable du massacre de la voie romaine était repassée pour « nettoyer » les abords et faire disparaître les gravats et branches abandonnés.
Le point sur la centrale photovoltaïque qu’envisage la commune d’Aubignosc au lieu-dit Malaga, que nous combattons.
Pour enfouir une tranchée de raccordement d’une centrale photovoltaïque au poste source de Limans, Enedis a détruit une voie romaine et mutilé la forêt de Seygne. Manifestation sur place dimanche 20 février, dans le cadre de la journée mondiale des zones humides avec LPO.
Amilure donne son point de vue sur les assises de la forêt française, qui viennent de se terminer.
Nous relayons une invitation du collectif Elzeard Lure-en-Résistance, dimanche 30 janvier à 14 h sur le site du projet Plan de Banon.
Le journal Libération a publié un article intéressant sur les stratégies cachées derrière les intentions vertueuses de l’agrivoltaïsme. La Chambre d’agriculture 04 s’exprime aussi.
Amilure a contribué à l’enquête d’utilité publique concernant le projet de centrale photovoltaïque au « Défends du Bon Péou », sur les Omergues.
La justification de l’emplacement du projet de Plan de Banon repose sur l’existence d’un ancien projet de silo militaire non finalisé, constituant un site anthropisé, ce qui correspond à l’un des critères de la doctrine départementale pour le choix des implantations photovoltaïques. Mais la part anthropisée ne représente que 2,8 ha sur les 14,5 prévus, et ne sera d’ailleurs pas entièrement utilisée.
La Cour d’appel de Toulouse condamne les sociétés gestionnaires des éoliennes à indemniser les victimes pour l’ensemble des préjudices subis : souffrances endurées, perte de valeur de leur bien immobilier et préjudice moral.