Amilure

Les amis de la montagne de Lure

Lors de notre Assemblée générale 2022, qui eut lieu le 7 juillet dernier à Montlaux et dont on trouve ici le procès-verbal, une table ronde de plusieurs personnalités invitées permit d’échanger, notamment avec l’assistance, sur la notion de bien commun appliquée à notre territoire de Lure.

Pierre Honoré, administrateur d’Amilure, animait la discussion, à laquelle participaient :

  • Jacques Berguerand, berger  
  • Camille Feller, maire de Montlaux
  • Olivia Kopczynski, architecte DPLG, membre du collectif Elzeard-Lure en résistance
  • Patrick Lagrange, vice-président de la Société Astronomique de la Montagne de Lure
  • Danielle Musset, ethnologue, ancienne directrice du musée de Salagon
  • Aline Salvaudon Coordinatrice de la réserve de Biosphére Luberon Lure Responsable du pôle biodiversité, géologie et ressources naturelles au Parc naturel régional du Luberon

Une captation vidéo permet de revivre l’événement, suivi de la clôture de la rencontre par Richard Collin, président d’Amilure :

En survolant la ligne de temps, vous pouvez accéder directement aux différentes interventions. Si vous passez sur YouTube, cet index apparaît aussi (de manière plus lisible et plus accessible) dans la description en cliquant sur « Plus ».

La montagne de Lure : un bien commun

Un commentaire sur « La montagne de Lure : un bien commun »

  1. L’intervention de Mme Salvaudon est décevante à plus d’un titre.

    D’une part, on comprend qu’elle n’est pas là pour s’exprimer personnellement, et c’est tant mieux car elle représente le Parc du Luberon et c’est ce qui nous intéresse. Du coup on aimerait avoir accès au point de vue du Parc mais non: le Parc n’a pas d’avis, apparemment, sur la logique de prolifération des EnR dans notre secteur.

    D’autre part, elle répète plusieurs fois que les espaces boisés ont triplé sur Lure depuis 1955. Cela semble être prononcé comme un signal de réjouissance. “Ne vous en faites pas, la forêt se porte bien.” Et donc? On peut se mettre à l’arracher sans scrupules? On ne voit pas bien ce que vient faire cette information dans le débat. Quelles que soient les évolutions récentes, il est impératif de préserver nos forêts pour des raisons de biodiversité et de captation carbone. Le fait que la situation ait été pire il y a 70 ans, dans un autre contexte climatique, n’y change rien.

    Par ailleurs, on comprend que le Parc n’a pas de grands moyens. Quand il tente de s’exprimer sur les aberrations de la biomasse forestière à Gardane, la Région, son principal financeur, menace de lui couper les vivres.

    On comprend aussi que finalement, cette belle appellation de “Biosphére Luberon Lure” ne correspond malheureusement à rien d’utile.

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